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Jamais deux sans trois, pour reprendre la vieille formule. Et ce n’est pas Samuel Taillefer qui dira le contraire. Car après la publication de ses deux premiers ouvrages « Au bout de mes chaines » en 2014 et « Puis la terre épousa la racine » en 2018, le jeune auteur originaire de la commune de Carrefour vient de signer son troisième titre baptisé « L’encre des aubes tardives », un recueil de poèmes d’environ 70 pages paru chez C3 Éditions. 

« L’encre des aubes tardives », nous dit Samuel Taillefer, est un recueil de poèmes qui réunit une pléiade d’expériences émotionnelles, sociales et politiques traduites en une expression artistique simple et accessible. « Ce recueil embrasse la nature humaine dans ce qu’elle a de basique et de profond, concentre toute sa simplicité́ dans un effort de connexion entre celui qui lit et celui qui a écrit, que nous sachions que même sans jamais échanger un mot ou un regard nous pouvons encore nous comprendre et nous accepter les uns les autres. En gros, c’est un message simple adressé aux lecteurs : Vous n’êtes pas seuls. Vos peines, vos désespoirs, vos amours aboutis, vos amours inavoués, tout ce qui peut vous traverser, tout est partagé. », a-t-il ajouté, quant à la portée utilitaire de son œuvre. 

Selon les confidences de Samuel Taillefer, il a écrit « L’encre des aubes tardives » spécialement pour participer au Prix Amaranthe, lequel concours qu’il a remporté dans la catégorie poésie. Une récompense qui vient comme une sorte de confirmation pour ce jeune chrétien, poète et travailleur social. « Ce prix est un tournant pour moi. J’ai envoyé́ mon texte à ce concours pour confirmer que j’étais sur la bonne voie, que je faisais bien ce que j’aimais faire. L’avis du jury était important pour moi et j’ai eu la meilleure des réponses. Je mentirais si je vous disais que ma confiance ne s’en retrouve pas renforcée. », a avoué l’intéressé dans un entretien accordé a Rythmes509. Cependant, poursuit-il, « Je reste dans la même dynamique de mes débuts. Je reconnais que tous les titres s’accompagnent de responsabilités, le prix Amaranthe n’est pas une exception. Toutefois, l’esprit même de ce concours cadrent parfaitement avec ma vision de la poésie, je n’ai donc pas à changer grand-chose à qui je suis ou à ce que j’écris. »

Par ailleurs, au-delà de l’aspect esthétique et qualitative de cette œuvre qui lui a valu la reconnaissance du jury du Prix Amaranthe, Samuel a aussi développé un lien affectif et émotionnel très fort avec « L’encre des aubes tardives »« J’ai beaucoup aimé écrire ce livre. Cette période de ma vie pendant laquelle je l’ai écrit est jusque-là̀ la plus riche que j’ai connue. Ce livre porte quelque chose de moi que j’aspire à reproduire dans tous ceux qui suivront. », a-t-il argumenté. 

Communication - Institution
Samuel Taillefer en signature

Plusieurs vente signatures ont déjà eu lieu dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince au profit du grand public. Ceux qui souhaitent retirer leur exemplaire de « L’encre des aubes tardives » de Samuel Taillefer peuvent passer aux locaux de C3 Éditions, au #31, Delmas 31 ou au #7 bis, rue Vernet Delmas 31. Entre-temps si vous souhaitez rester connectés avec l’auteur, vous pouvez le suivre sur les réseaux sociaux dont Instagram et Facebook, où il partage parfois quelques extraits de ses textes.

Osman Jérôme 


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